Voiture de l’année 2026 : le choc électrique que personne n’avait vu venir !
Cette année, la voiture de l’année 2026 promet un duel électrique digne d’un blockbuster. Entre Renault, Peugeot, BMW et un challenger venu de Chine, les moteurs se taisent, mais la bataille fait rage. Sept finalistes, un seul trône… et un suspense plus chargé qu’une borne Ionity un jour de grève.
Le prix le plus sérieux de l’automobile… ou presque
Ah, la Voiture de l’année. Ce concours européen où 59 journalistes réputés pour leur impartialité (et leur amour du café gratuit lors des essais presse) se réunissent pour désigner la voiture qui a le plus de chances de finir dans votre garage — ou, plus souvent, dans vos rêves.
Mais attention, ce n’est pas un simple trophée à mettre sur la cheminée. Non. Remporter ce titre, c’est comme gagner Wimbledon avec une raquette en bois : une consécration technique, une claque médiatique et un argument marketing imparable, surtout dans un marché qui carbure désormais au kilowatt plutôt qu’à l’octane.
Et cette année, 2026 donc, le concours ressemble à un cocktail molotov où l’on a jeté des SUV, de l’électrique, quelques miettes d’hybride, un soupçon de lobbying et miracle ! Trois Français prêts à en découdre. Champagne ou carburant synthétique, à vous de choisir.
Les 7 finalistes : un casting aussi éclectique qu’un buffet de mariage
Faisons les présentations, voulez-vous ? Voici les sept prétendants au trône. Sept voitures, sept visions de la mobilité, et autant de stratégies que de modes de propulsion.
BMW Série 5 : ou quand la Bavière tente de faire croire qu’elle maîtrise aussi bien l’électricité que la mécanique. Un modèle décliné en thermique, hybride et 100 % électrique — l’i5 — pour contenter tout le monde, sauf ceux qui veulent une vraie identité.
BYD Seal : le loup chinois dans la bergerie européenne. Une berline électrique qui a autant de technologie qu’un iPhone sous stéroïdes, mais à un prix qui ferait trembler un Dacia. Si elle ne gagne pas, ce sera pour une seule raison : elle vient de trop loin, et trop vite.
Kia EV9 : l’éléphant dans le salon. Un SUV électrique de 5 mètres de long, bardé d’écrans, de gadgets, et de volonté coréenne. Une voiture faite pour avaler les kilomètres — et les parkings — avec un look de vaisseau spatial.
Peugeot e-3008 : probablement la meilleure surprise française de ces dernières années. Un SUV qui n’a plus rien à envier aux Allemands, ni aux Coréens, ni même à ses propres créateurs. Peugeot s’est réveillé et ça fait du bruit. Électrique, musclé, presque élégant : une vraie métamorphose.
Renault Scénic E-Tech : oui, le Scénic est de retour, et cette fois, il a mis les doigts dans la prise. Moins monospace, plus SUV, mais diablement malin. Grande autonomie, intérieur futé, et ce petit je-ne-sais-quoi qui donne envie de lui confier ses enfants. Le favori ? Peut-être bien.
Toyota C-HR : vous aimez les angles ? Vous allez être servis. Toujours hybride, parfois rechargeable, jamais fade. Une voiture qui plaît, qui vend, et qui reste fidèle à l’ADN Toyota : fiable, mais sans folie.
Volvo EX30 : le plus petit du groupe, mais pas le moins redoutable. Compact, chic, 100 % électrique, et aussi suédois qu’un meuble en kit. C’est l’option urbaine, élégante, presque éthique. Mais assez pour rafler le titre ? À voir.
Trois voitures françaises, cinq électriques, deux SUV taille XXL et pas une seule trace de V8 ou de rugissement mécanique. Le paysage automobile a changé, et cette sélection en est le miroir fidèle — un miroir qui vous sourit poliment avant de vous rappeler que la recharge rapide, c’est toujours une promesse.
Les grandes tendances : plus d’électricité, moins d’essence, et beaucoup de marketing
Si quelqu’un doutait encore que le monde automobile a basculé, cette liste des finalistes 2026 lui servira d’électrochoc. Sur sept modèles, cinq sont 100 % électriques. Le moteur thermique, jadis symbole de puissance et de prestige, fait désormais figure de vieil oncle grognon qu’on invite par politesse au dîner de famille.
Mais attention : derrière le discours « zéro émission », le calcul industriel reste redoutablement pragmatique. Les constructeurs veulent vendre du rêve, certes, mais surtout du volume rentable. L’électrique, c’est la vitrine verte ; l’hybride, le compromis ; et le SUV, la poule aux œufs d’or. Résultat : une homogénéité troublante, avec des silhouettes qui se ressemblent et des tableaux de bord qui semblent tout droit sortis du même fournisseur taïwanais.
Pourtant, au milieu de cette tempête numérique, les marques françaises tirent leur épingle du jeu. Peugeot et Renault, longtemps à la traîne, semblent enfin parler le même langage que les acheteurs modernes : celui de l’autonomie réelle, du design affirmé, et d’un prix encore humainement accessible.
Et puis il y a Volvo, Kia et BYD : trois marques qui, chacune à leur manière, définissent la nouvelle hiérarchie mondiale. Leurs modèles n’ont rien à envier aux « grands », et ils le savent.
Un suspense électrique jusqu’au verdict final
Le grand verdict tombera au Salon de Genève 2025, où le jury annoncera le lauréat du titre tant convoité. D’ici là, les prototypes seront essayés, disséqués, comparés, mesurés, puis jugés avec la sévérité d’un prof de physique corrigeant un devoir bâclé.
Les paris sont déjà ouverts :
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Le Renault Scénic E-Tech est le favori naturel, grâce à sa polyvalence et à son équilibre quasi parfait.
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Le Peugeot e-3008 a pour lui son audace et son intérieur spectaculaire.
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Le BYD Seal pourrait créer la surprise, surtout si les jurés acceptent de reconnaître la montée en puissance de la Chine.
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Et le Volvo EX30, lui, pourrait séduire les cœurs plus rationnels, avec son côté « compact chic » et son empreinte carbone mesurée.
Mais attention : rien n’est joué. Une victoire française serait historique : Renault enchaînerait un troisième titre consécutif, après ceux de la Mégane E-Tech et du Scénic E-Tech. Un triplé inédit dans l’histoire du concours, et un signal fort pour toute l’industrie européenne.
Car derrière cette compétition symbolique se joue une bataille bien plus large : celle de la crédibilité des constructeurs européens face aux nouveaux géants asiatiques. Et, pour une fois, il faut bien le dire, la France n’a pas dit son dernier mot.
En résumé :
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5 modèles électriques sur 7 : l’électrification n’est plus une option, mais la norme.
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Les constructeurs français dominent la sélection, avec Renault et Peugeot en favoris.
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BYD, Kia et Volvo représentent la montée en puissance des challengers mondiaux.
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Le SUV reste roi, malgré les critiques et les contraintes environnementales.
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Le verdict sera rendu au Salon de Genève 2025, avec un possible triplé historique pour Renault.










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